Droit de passage

Jack, à bord de son fier vaisseau L'étrangleur vit la frégate de sécurité de la crique venir de loin.

Abaissez les voiles sales chiens galeux!, beugla-t-il.

Les deux navires, majestieusement, se rangèrent côte-à-côte. Jack fit mettre une chaloupe à la mer et , après avoir fait ses recommandations à son second Si y'arrive quoi qu'ce soit à mon étrangleur j'te donne aux r'quins. Compris?!, il s'embarqua pour la frégate.

Sur celle-ci il dû jurer de respecter en ces lieux le code de la piraterie, puis on le mena à la crique des pirates, enfin, à l'antichambre, cette bonne vieille bicoque de Meg la Grosse, cette salle truie du comptoire des taxes, lieux de passage obligatoire pour pouvoir se balader tranquil dans la crique et où Meg vous faisait poiroter dix ans avec d'autres bons gailliards avant d'appeller le suivant.

Au moment où Jack ouvrit la porte, il pû entrendre l'autre braillier:

Au suivant!

Shanks et son vaisseau apparure a l'horizon . La frégate de sécurité ne bougea pas d'un pouce . On leur avaient racontés qu'une fois il était venue dans une crique avec une flotte de 30 vaisseaux et avait pour le plaisirs coulé toute les frégates de sécurité .
Il descendit du navire sans dire un mots et se dirigea seul vers l'antichambre .

Quand il ouvrit la porte il entendit cette maudite phrase :


AU SUIVANT !

Quelques rangs plus loin se dandinait un grand squelette. Cela semblait étrange pour une telle créature, mais il semblait se retenir d'aller aux toilettes.

Shanks, aux abois comme à son habitude, remarqua rapidement une homme à forte starure qui dévisageait avec colère l'énergumène osseux. Il finit par se lever, et, prenant une attitude non-chalante, se raprocha de Jack. D'un coup d'épaule, il déstabilisa ce dernier qui s'effondra par terre.

Tu fais quoi là?!, hurla-t-il aux os éparpillés au sol. J'sais pas d'ou tu viens, mais chez nous, les pirates y's'dandinent pas comme une fillette!


La foule présente partie d'un grand rire. Quand je dis foule, je parle d'un trentaine de pirates de toutes races et tous sexes. Leurs rires semblaient au ralenti pour Shanks, qui, toujours attentif et calme, vit les os éparpillés commencer à trembler. Connaissant certaines légendes au sujet d'un certain squelette pirate, il préféra s'éclipser fumer une bonne pipe sur le perron, histoire de laisser ces grands gaillards récolter la monnaie de leur pièce. C'était une question d'étique: pourquoi s'impliquer dans une histoire qui ne le concernait nullement?, cela aurait été un gaspillage d'énargie; et une question de respect, car pour l'honneur de Jack, il se devait de ne pas intervenir.

Il attendit donc, patiemment, non loin de poste de douanes.

Il entendit un mugissement rauque suivit de cris. Des fracas emplirent l'atmosphère, bientôt rejoins par des hurlements de douleur...

[...]Quelques cris d'agonie plus tard...


Shanks, n'entendant plus un bruit, tranquillement, s'en retourna au poste. Ce dernier n'était plus que chaos de bois, de chaire, de métal et de sang. Au milieu de ce carnage se tenait un squelette sans aucune tache de sang sur lui, patientant accoudé à un vestige de guichet. Ses longs doigts tapotaient de manière pensive sur le bois devant le regard perdu de la face livide de Meg.

Je crois que cette antichambre serait mieux en taverne pour les visiteurs. Vous savez, un comptoire de taxes où les taxes sont les prix des boissons. Ce serait plus convivial, et puis, si ils tiennent bien l'alcool, ben on pourra dire qu'ils peuvent p't'êt' bien être pirates. Z'en dites quoi la Meg?, dit-il d'un ton détaché.

Comme vous voudrez m'sieur Jack, fit-elle avec crainte. (hrp: faut bien se faire mousser quand on peut! )

Se retourant vers Shanks il dit avec un sourire dans la voix:

Et si je payais votre taxe avec la mienne l'ami?, se retourant vers Meg il reprit:Allez ma bonne Meg, deux bon vieux bruns de vot' cave personnelle!

La grosse Meg fit mine d'hésiter.

Dépêchez-vous, il faut bien que nous payions notre droit de passage!, dit-il dans un grand rire tonitruant.

Poussant un cadavre, en soulevant quelques autres, il finit par dégager deux tabourets. Après les avoir essuyé avec sa redingote déchirée, il invita Shanks à s'assoir au comptoire où Meg venait de poser deux verres à Bourbon emplis d'un liquide brun.

A la tienne compagnon, à un nouvel ordre, à nous: les pirates, fit-il en trinquant avec Shanks.

Shanks après avoir bu une gorger de brun s'adressa à Jack :

Jack mon ami , tu n'as plus le meme niveau qu'autrefois . Il en reste un près de la porte . Il fesait le mort quand j'ai ouvers la porte .
Je peu meme te dire qu'il s'apprète a te trancher la tete bien que cela soit inutile .


édité par Admin

Barberousse entra dans ce cafarnaum à cet instant. Le pauvre bougre qui fesait le mort s'approchait dangereusement de jack.
"à le batard" dit il, "t'en veut a mon pote?".
il sorti une lame tranchante à souhait et la lanca sur cet individu suicidaire. La lame , qui traversa la pièce a la vitesse de la lumière, se planta direct dans le crane degarni de l'assaillant, ce qui le tua sur le coup.
"v'la c'qu'y s'passe quand on en veut a mes compagnons".
Barberousse le colosse approcha du cadavre, s'en saisi, et le fit voler dans les seules étagères qui tenaient encore au mur.
"Ben quoi? moi aussi j'aime bien tout casser! "
Il s'installa près de jack et de shanks, stupéfaits.

Shanks prit enfin la parole :
"Toujours aussi féroce à ce que je vois .
Meg , va chercher un notre verre . Cette fois c'est moi qui paye ."

-Vous allez rigoler mais sacher qu'une alliance classé 200 ou un truc comme sa a hausé s'en prendre au fondateur de la mienne . Résultat ils vont se prendre une grand claque .Sa vous dit de participer pour leur donner une lecon .

ya des suicidaires des kamikazes on diré mais bon si sa permet d éliminer le plus de joueur possible c bien